Suite au succès retentissant de la première du spectacle Yvon Deschamps raconte La Shop, GSI Musique annonce de nouvelles supplémentaires dans plusieurs villes du Québec.
C’est avec une grande fierté que l’ensemble de la distribution a présenté le résultat des derniers mois de travail devant un public déjà conquis et séduit par des textes qui font désormais partie du patrimoine québécois. L’œuvre revisitée, adaptée et finement ficelée a su charmer dès la première présentation de la tournée qui s’est déroulée à Granby il y a quelques jours.
Le public est déjà au rendez-vous et les salles affichent complet dans plusieurs villes. Cette production qui allie différentes formes d’arts de la scène comme le jeu, l’humour, la chanson, la danse et le cirque, permet de découvrir des personnages colorés et attachants, qui remettent en question la société et font réfléchir sur les valeurs d’aujourd’hui, ce qui, en soi, est un concept intemporel et qui ne définit pas qu’une génération. Voilà tout le legs des monologues d’Yvon Deschamps.
Avec ses acteurs, ses danseurs, ses musiciens et circassiens sur scène, ne manquez pas Yvon Deschamps raconte La Shop, en tournée à travers le Québec.
SUPPLÉMENTAIRES ANNONCÉES
- 12 janvier – salle André-Mathieu | Laval
- 22 janvier – Théâtre Gilles Vigneault | Saint-Jérôme
- 2 mars – Centre des Arts Juliette-Lassonde | Saint-Hyacinthe
- 15 mars – Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts | Montréal
- 28 mai – Palace de Granby | Granby
« Cet hommage-là il est réussi, pas rien qu’un peu… ce ne sera pas la dernière mise en scène de Jean-François Blais! »
– Sabrina Cournoyer, Salut bonjour
« Un grand spectacle de variétés… le legs culturel d’Yvon Deschamps est énorme. »
– Christine Manzo, TVA
« Les interprètes sont tous très très justes dans leurs interprétations… on se sent dans la shop et on s’attache aux personnages… C’est un spectacle à voir. »
– Catherine Brisson, 98.5 – Lagacé le matin
« Cette bibitte musico-théâtrale célèbre l’œuvre du monologuiste avec amour, originalité et sincérité. »
– Raphaël Gendron-Martin, Journal de Montréal
