Avis de ne pas consommer de gravlax de truite préparé et vendu par l’entreprise Poissonnerie Ô inc.

Courtoisie. Gravlax de truite au rhum (Groupe CNW/Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation)

Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), en collaboration avec la Division de l’inspection des aliments de la Ville de Montréal et l’entreprise Poissonnerie Ô inc., située au 3414, rue Ontario Est, à Montréal, avise la population de ne pas consommer le produit indiqué dans le tableau ci-dessous, car cet aliment est susceptible de contenir la bactérie Listeria monocytogenes.

Même si la date de péremption du produit est dépassée, il se pourrait que certains consommateurs en aient en leur possession.

Dénomination du produitFormatLot visé
« Gravlax de truite au rhum Rosemont et ses arômes »150 gMeilleur avant2023.FE.14

Le produit qui fait l’objet de la présente mise en garde a été offert à la vente à l’établissement désigné ci-dessus uniquement. Le produit était déposé sur un carton doré et emballé sous vide. Il était vendu à l’état réfrigéré. L’étiquette du produit comportait, outre sa dénomination, la mention « Poissonnerie O ».

L’exploitant procède volontairement au rappel du produit en question. Il a convenu avec le MAPAQ et la Division de l’inspection des aliments de la Ville de Montréal de diffuser cette mise en garde par mesure de précaution. De plus, les personnes qui ont ce produit en leur possession sont avisées de ne pas le consommer. Elles doivent le retourner à l’établissement où elles l’ont acheté ou le jeter.

Même si le produit ne présente pas de signe d’altération ni d’odeur suspecte, il pourrait être contaminé par la bactérie Listeria monocytogenes. La consommation d’un aliment contaminé par cette bactérie peut causer la listériose, une maladie d’origine alimentaire qui risque d’entraîner plusieurs symptômes parmi ceux-ci : fièvre, douleurs musculaires, maux de tête, raideur de la nuque, nausées, vomissements et diarrhée. Les symptômes apparaissent le plus souvent entre 3 et 30 jours après la consommation des aliments contaminés, mais peuvent parfois même survenir jusqu’à 70 jours après. À cet égard, les femmes enceintes et leur enfant à naître, les personnes âgées, les enfants ainsi que les personnes dont le système immunitaire est affaibli sont considérés comme les plus vulnérables.

Il est à noter qu’aucun cas de maladie associée à la consommation de cet aliment n’a été signalé au MAPAQ jusqu’à présent.