Stéphanie Boulay lance son nouvel extrait radio « On s’haïssait pas »

Courtoisie Torpille Promo Radio

L’autrice-compositrice et interprète Stéphanie Boulay dévoile son nouvel extrait radio On s’haïssait pas.

« On s’haïssait pas, c’est une chanson que j’ai d’abord envoyée à mon réalisateur Alexandre Martel en riant, et en disant que je n’allais pas la garder. Finalement, elle nous est rentrée sous la peau et on n’a pas réussi à s’en débarrasser. C’est une chanson pop et un peu drôle, légère, sur le fait que mon amoureux n’aime pas ma musique, et qu’au début de notre relation, on faisait comme si on ne s’aimait pas non plus. C’est pas mal le début du retour de la lumière, dans mon histoire. » – Stéphanie Boulay

À PROPOS

L’autrice-compositrice et interprète Stéphanie Boulay a récemment décidé, faute d’arriver à choisir quel chapeau porter au quotidien, de ne plus essayer de se définir et, surtout, de ne plus se contraindre. Après ses études en musique au cégep de Drummondville puis en littérature à l’UQAM, on l’a lue et on l’a entendue dans les médias, mais c’est surtout comme « la moitié blonde » des sœurs Boulay qu’on l’a connue dans l’espace public. 

Le duo gaspésien cumule à ce jour quatre albums, un EP, plusieurs centaines de spectacles – tant au Québec que dans le reste du Canada et en Europe francophone –, une poignée de Félix (dont ceux de groupe et d’album de l’année), et un album certifié or (4488 de l’Amour) et un platine (Le poids des confettis) en douze ans de carrière. 

Stéphanie a aussi tenté l’aventure musicale en solo avec l’album Ce que je te donne ne disparaît pas, paru en 2018, qu’elle a rebaptisé « La parenthèse » et qu’elle a vite fait de remballer, par peur ou par pudeur, pour retourner dans l’univers familier et rassurant créé avec sa sœur. 

Elle revient aujourd’hui, sans gêne et sans peur cette fois, avec Est-ce que quelqu’un me voit ?, un album de dix titres enregistrés au côté du réalisateur Alexandre Martel. Ce qu’on y entend, ce sont des chansons intimes et impudiques, parfois accrocheuses et dansantes, parfois crues et sombres, où la solitude et les questionnements existentiels sur la trentaine, la nulliparité, la féminité et le célibat sont omniprésents, mais où on ne se décourage et ne s’excuse jamais d’être en quête d’amour, de complétude et d’approbation.